Archive for juillet, 2018

Les enfants qui suivent MyPlate mangent bien pour une croissance et un développement sains. Mais, de nombreux enfants souffrent aujourd’hui de « distorsion de la portion ». Bien que MyPlate fournisse le nombre de portions quotidiennes de différents groupes d’aliments, nous négligeons parfois la quantité spécifique de nourriture dans une portion. Lorsque vous parlez de ce que les enfants mangent ou boivent, gardez ces définitions à l’esprit. Taille de la portion par rapport à la taille de la portion Une portion est une quantité spécifique de nourriture ou de boisson. Il est défini par une mesure commune, comme les tasses, les onces ou les cuillères à soupe. MyPlate fournit des tailles de portion. De plus, l’étiquette de la valeur nutritive sur les aliments indique la grosseur des portions. Une chose délicate est que ces portions peuvent ne pas être les mêmes. La plupart des portions de MyPlate sont plus petites que celles indiquées sur l’étiquette de la valeur nutritive. Puisque MyPlate fournit la quantité de nourriture dont votre enfant a besoin pour être en bonne santé, il est préférable d’utiliser ces portions. Une partie est la quantité de nourriture qui finit dans la plaque. Pensez à la taille des portions comme le montant réel de les enfants de la nourriture choisissent de manger au petit déjeuner, au déjeuner, au dîner ou comme collation. Les portions peuvent être plus grandes ou plus petites que les portions recommandées. Si une partie est plus grande, votre enfant pourrait courir un risque accru de prendre du poids. Alors, apprenez à vos enfants à faire des portions de taille égale aux portions de MyPlate. Tailles de portions appropriées: Donner aux enfants un visuel Une des raisons pour lesquelles les enfants ne mangent pas des portions de taille appropriée en fonction des portions recommandées de MyPlate est qu’ils ne reconnaissent pas à quoi ressemble une portion raisonnable. À quoi ressemble une demi-tasse de pâtes? Qu’en est-il de trois onces de poulet ou deux cuillères à soupe de beurre de cacahuète? La bonne nouvelle est que les enfants n’ont pas besoin d’une tasse à mesurer ou d’une balance pour mesurer les portions qu’ils devraient manger – ils peuvent plutôt les visualiser en utilisant des objets familiers, comme une balle de tennis ou un DVD tailles. Avant qu’ils mangent ou boivent, ils peuvent penser à l’objet concerné et choisir une portion qui correspond à sa taille. Retrouvez toutes les infos sur ce cours de cuisine en suivant le lien.

Les situations récurrentes de congestion rencontrées aux heures de pointe dans les principales agglomérations urbaines et les concentrations de polluants dans l’atmosphère imposent aux collectivités locales de mieux réguler l’intensité de la circulation automobile. La réduction de l’autosolisme devient un objectif majeur des plans de déplacements urbains. La solution traditionnelle du transport collectif (c’est-à-dire par des véhicules à forte capacité desservant des itinéraires selon des horaires le plus souvent fixes) rencontre très vite des limites d’ordre économique et financier. D’autres modes ou services de déplacements montent en puissance et parmi eux le covoiturage. Il représente un potentiel énorme quand on songe aux places disponibles dans les véhicules privés qui circulent tous les jours, à coût marginal d’exploitation quasi nul au niveau du véhicule. Combiné avec les TIC mobiles et une plateforme d’intermédiation performante qui autorisent les arrangements « au vol », il devient « covoiturage dynamique ». Cette version particulière entre en adéquation avec la variabilité croissante des schémas individuels d’activités au jour le jour, en termes d’horaires ou de lieux d’origines et de destinations. Les obstacles à franchir sont de plusieurs ordres. Il convient tout d’abord de surmonter d’éventuelles barrières psycho-sociales de la part de l’automobiliste-propriétaire à partager son véhicule avec des personnes qui lui sont a priori inconnues. Le véhicule automobile privé est souvent perçu comme un prolongement de la sphère intime du domicile. Le statut social attaché à la possession d’une voiture individuelle peut aussi entrer en conflit avec la notion de partage du véhicule (qui le rapproche de la promiscuité du transport collectif) ou encore avec la recherche affichée d’économies par le partage des coûts. Les incitations doivent donc être fortes pour surmonter ces réticences et aboutir à des changements significatifs de comportements au-delà de ce que l’on observe marginalement aujourd’hui. Le succès de Blablacar sur le covoiturage à longue distance est certes encourageant mais dans le cas des distances parcourues dans la mobilité du quotidien les économies monétaires potentielles restent faibles alors que l’arbitrage entre les différents modes de transport est surtout piloté par les gains de temps potentiels. D’où l’intérêt d’offrir voire garantir un gain de temps (ou de fiabilité) sur le trajet automobile au moyen de voies réservées au covoiturage.

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