Archive for mai, 2018

J’ai récemment loué le dvd du film Stealth (2005). L’histoire envisage que les futurs avions de chasse sont pilotés par des ordinateurs sophistiqués dans la mesure où les avions automatiques létaux peuvent penser par eux-mêmes sans pilotes humains. En fin de compte, ce sont les humains qui sont chargés d’empêcher la guerre à la place. Je suis très passionné par les avions de combat. Je suis l’histoire du développement des différents avions à réaction militaires en particulier ceux qui peuvent effectuer des missions de frappe de précision. Un de mes favoris est le Grumman F-14 Tomcat. Grumman F-14 Tomcat est un avion bi-moteur à deux places à géométrie variable, supersonique. Le F-14 était le principal chasseur de supériorité aérienne, l’intercepteur de défense de flotte et la plate-forme de reconnaissance tactique de la marine américaine de 1974 à 2006, développé après l’effondrement du F-111B. ont été conçus en intégrant l’expérience du combat aérien au Vietnam contre les MiG développés en Russie. Remplaçant le F-4 Phantom II, le Tomcat F-14 a été retiré de la flotte de la marine américaine le 22 septembre 2006, après avoir été remplacé par le Super Hornet F / A-18E / F. Il était le plus gros et le plus lourd chasseur américain à avoir jamais décollé d’un porte-avions, sa taille étant une conséquence de l’obligation de transporter à la fois le grand radar AWG-9 et les missiles AIM-54 Phoenix à très longue portée. L’armement comprenait le canon principal M61 Vulcan, avec 676 coups et un taux d’allumage sélectionnable de 4 000 ou 6 000 tr / min. En outre, 6 700 kg de magasins pourraient également être transportés pour des missions de combat en plusieurs points durs sous le ventre et sur les points d’attache des ailes, généralement une combinaison de deux – quatre Phoenix ou Sparrows sur les stations de ventre, deux Phoenix / Sparrows sur l’aile points d’appui, et deux Sidewinders sur les points d’attache de l’aile. Certains déploiements ont également utilisé quatre AIM-7 Sparrows (sur le ventre) et quatre AIM-9 Sidewinders (sur les ailes). Retrouvez toutes les infos sur ce vol en avion de chasse en suivant le lien.

Que le concept « d’autiste lourd » connaisse une surprenante popularité à l’heure où la médecine l’a définitivement abandonné est, je crois, dû à ses divers avantages pour ainsi dire politiques. Premièrement, évoquer les « autistes lourds » est la manière la plus commode de relâcher ou d’éviter les efforts d’inclusion, à l’école comme dans l’emploi. Deuxièmement, expliquer le devenir de la personne par sa nature profonde permet de maintenir en place n’importe quelles pratiques ou techniques anciennes, y compris les plus arbitraires et les moins efficaces, tout en disqualifiant les nouvelles façons de faire, voire les témoignages troublants lesquels, dans une terminologie kuhnienne, devraient en temps normal suffire à faire voler en éclats les paradigmes erronés. Troisièmement, la question des troubles du comportement, ou plutôt des mesures à adopter pour y remédier, est écartée in toto, de par la croyance qu’il y aurait un lien entre le prétendu degré d’autisme et les troubles du comportement. Quatrièmement, et à un tout autre niveau, il faut reconnaître que les choix terminologiques des nouveaux acteurs du domaine de l’autisme, par ailleurs parfaitement respectables et porteurs d’une approche nouvelle, n’ont pas été heureux : soucieux, à l’instar de toute entreprise digne de ce nom, de recruter des personnes porteuses d’un certain nombre de compétences, ces acteurs affirment le plus souvent rechercher des « Asperger », postulant ainsi l’existence d’un lien hypothétique entre cette catégorie ancienne et telle ou telle compétence ponctuelle, alors même qu’aucune étude ne le montre et que les contre-exemples ne font pas défaut. Sur le plan des politiques publiques, une ramification pernicieuse de la croyance en la dualité des autismes tient en la question de la répartition des moyens. Dans pareille perspective, il paraît manifeste que la personne tenue pour « lourde » ait davantage de besoins et vive dans des conditions plus précaires. Or, à diverses variations près, tel n’est pas nécessairement le cas : si l’on fait abstraction ici de toutes les défaillances possibles des établissements, rien n’indique que la qualité de vie d’une personne quadragénaire ou quinquagénaire par exemple porteuse d’un autisme dit lourd soit de ce fait même moins bonne sur le plan matériel que chez une personne porteuse d’un autisme dit léger. Bien au contraire : du fait de la configuration des moyens disponibles, peut être émise l’hypothèse d’une meilleure et plus fiable mise à disposition des ressources fondamentales à la vie telles que la nourriture et le gîte chez la personne tenue pour « lourde »

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