J’ai récemment loué le dvd du film Stealth (2005). L’histoire envisage que les futurs avions de chasse sont pilotés par des ordinateurs sophistiqués dans la mesure où les avions automatiques létaux peuvent penser par eux-mêmes sans pilotes humains. En fin de compte, ce sont les humains qui sont chargés d’empêcher la guerre à la place. Je suis très passionné par les avions de combat. Je suis l’histoire du développement des différents avions à réaction militaires en particulier ceux qui peuvent effectuer des missions de frappe de précision. Un de mes favoris est le Grumman F-14 Tomcat. Grumman F-14 Tomcat est un avion bi-moteur à deux places à géométrie variable, supersonique. Le F-14 était le principal chasseur de supériorité aérienne, l’intercepteur de défense de flotte et la plate-forme de reconnaissance tactique de la marine américaine de 1974 à 2006, développé après l’effondrement du F-111B. ont été conçus en intégrant l’expérience du combat aérien au Vietnam contre les MiG développés en Russie. Remplaçant le F-4 Phantom II, le Tomcat F-14 a été retiré de la flotte de la marine américaine le 22 septembre 2006, après avoir été remplacé par le Super Hornet F / A-18E / F. Il était le plus gros et le plus lourd chasseur américain à avoir jamais décollé d’un porte-avions, sa taille étant une conséquence de l’obligation de transporter à la fois le grand radar AWG-9 et les missiles AIM-54 Phoenix à très longue portée. L’armement comprenait le canon principal M61 Vulcan, avec 676 coups et un taux d’allumage sélectionnable de 4 000 ou 6 000 tr / min. En outre, 6 700 kg de magasins pourraient également être transportés pour des missions de combat en plusieurs points durs sous le ventre et sur les points d’attache des ailes, généralement une combinaison de deux – quatre Phoenix ou Sparrows sur les stations de ventre, deux Phoenix / Sparrows sur l’aile points d’appui, et deux Sidewinders sur les points d’attache de l’aile. Certains déploiements ont également utilisé quatre AIM-7 Sparrows (sur le ventre) et quatre AIM-9 Sidewinders (sur les ailes). Retrouvez toutes les infos sur ce vol en avion de chasse en suivant le lien.

Que le concept « d’autiste lourd » connaisse une surprenante popularité à l’heure où la médecine l’a définitivement abandonné est, je crois, dû à ses divers avantages pour ainsi dire politiques. Premièrement, évoquer les « autistes lourds » est la manière la plus commode de relâcher ou d’éviter les efforts d’inclusion, à l’école comme dans l’emploi. Deuxièmement, expliquer le devenir de la personne par sa nature profonde permet de maintenir en place n’importe quelles pratiques ou techniques anciennes, y compris les plus arbitraires et les moins efficaces, tout en disqualifiant les nouvelles façons de faire, voire les témoignages troublants lesquels, dans une terminologie kuhnienne, devraient en temps normal suffire à faire voler en éclats les paradigmes erronés. Troisièmement, la question des troubles du comportement, ou plutôt des mesures à adopter pour y remédier, est écartée in toto, de par la croyance qu’il y aurait un lien entre le prétendu degré d’autisme et les troubles du comportement. Quatrièmement, et à un tout autre niveau, il faut reconnaître que les choix terminologiques des nouveaux acteurs du domaine de l’autisme, par ailleurs parfaitement respectables et porteurs d’une approche nouvelle, n’ont pas été heureux : soucieux, à l’instar de toute entreprise digne de ce nom, de recruter des personnes porteuses d’un certain nombre de compétences, ces acteurs affirment le plus souvent rechercher des « Asperger », postulant ainsi l’existence d’un lien hypothétique entre cette catégorie ancienne et telle ou telle compétence ponctuelle, alors même qu’aucune étude ne le montre et que les contre-exemples ne font pas défaut. Sur le plan des politiques publiques, une ramification pernicieuse de la croyance en la dualité des autismes tient en la question de la répartition des moyens. Dans pareille perspective, il paraît manifeste que la personne tenue pour « lourde » ait davantage de besoins et vive dans des conditions plus précaires. Or, à diverses variations près, tel n’est pas nécessairement le cas : si l’on fait abstraction ici de toutes les défaillances possibles des établissements, rien n’indique que la qualité de vie d’une personne quadragénaire ou quinquagénaire par exemple porteuse d’un autisme dit lourd soit de ce fait même moins bonne sur le plan matériel que chez une personne porteuse d’un autisme dit léger. Bien au contraire : du fait de la configuration des moyens disponibles, peut être émise l’hypothèse d’une meilleure et plus fiable mise à disposition des ressources fondamentales à la vie telles que la nourriture et le gîte chez la personne tenue pour « lourde »

Un jour de décembre, 14 heures. C’est par une journée sublime et avec des papillons dans le ventre que je pénètre dans le petit aéro-club de La Roche sur Yon. Impatience et affolement. Entre les deux, mon coeur balance. Car si je suis sur ce tarmac, c’est pour y effectuer une équipée prodigieuse: un vol acrobatique. Je vais à la rencontre du pilote, Damien, qui me met illico en confiance. On attaque le briefing. L’atmosphère est cool. Je sens pourtant la tension qui monte tandis que l’instant si longtemps attendu approche, et j’ai parfois du mal à me concentrer sur ce que dit Damien. Puis arrive le moment de passer à l’acte. Je mets mon parachute. Ave Cesar, morituri te salutant. Puis je m’achemine vers l’avion. Le Stampe SV-4, un petit avion bi-place, m’attend placidement. L’engin est à la fois léger et puissant. Et, comme je vais le découvrir d’ici peu, incroyablement vif. Le cockpit ne fait pas en fioritures. L’avion a visiblement été pensé pour un unique dessein: laisser le maximum d’adrénaline. Lorsque je me retrouve assis à l’intérieur, fermement sanglé à mon dossier, j’ai un peu l’impression d’être une partie de l’avion. La machine tousse un instant puis se met à rugir. En dépit du casque, le tintamarre est étourdissant. Le pilote s’assure que le micro de mon casque est en parfait état de marche, puis on s’envole pour trente minutes en plein ciel. Le pilote prend de la vitesse et nous décollons avant de gagner le site de voltige. Premier décrochage. Je pousson un juron et me cramponne au harnais, stupéfait. Je n’aurais jamais imaginé des sensations d’une telle puissance. Et ce n’était rien de plus qu’un préambule! Cloches, décrochages, retournés… Les cabrioles s’enchaînent à toute allure. A intervalles réguliers, je lâche un juron. La démonstration est un peu plus explosive que tout ce que j’avais imaginé. Ici, plus de haut ni même de bas. Mes points de repère se sont évaporés : le décor et le ciel virevoltent autour de l’appareil, sans que je parvienne à remettre les pièces du puzzle en place. Tout va beaucoup trop vite. L’envolée s’achève évidemment trop vite, et c’est cependant courbatu que je m’extraie du cockpit. Damien m’avait prévenu. Lors de certaines acrobaties, il fallait supporter jusqu’à 6G: je pesais 6 fois plus que d’habitude. C’est une sensation que le corps trouve plutôt éprouvante ! J’ai tellement adoré que je compte déjà recommencer. Mais pour ceux qui voudraient eux aussi s’offrir cette fabuleuse aventure, mieux vaut prévenir: il faut avoir le coeur solide. Certes, le pilote ajuste l’amplitude des figures selon le client, mais cela s’avère assez éprouvant tout de même ! Pour plus d’informations, allez sur le site de ce de baptême de voltige aérienne à Namur et trouvez toutes les informations.

voltige

Si la culture émancipe, elle peut aussi classer, discriminer. Publics exclus, éloignés, accès à la culture : les mots le disent. Il y a ceux à qui, dès l’enfance, on a confié les codes, et les autres qui ne sont ou ne se sentent pas concernés par les « politiques culturelles ». Pour ceux-là on a vu, dans les bibliothèques, deux axes stratégiques se développer. D’abord aller vers ceux qui ne poussent pas la porte, en mobilisant pour cela l’ensemble des partenaires associatifs. Puis créer l’atmosphère qui fait des bibliothèques ces troisièmes lieux dont on parle de plus en plus : entre le travail et la maison, des lieux conviviaux, chauds, où les espaces de recherche, de lecture, de travail et donc de calme jouxtent des espaces de convivialité, d’échanges, de jeux. On voit ainsi fleurir ici et là des ludothèques. Les bibliothèques font moins peur que les musées et les salles de spectacles. On en pousse souvent plus facilement les portes (40% de la population fréquente au moins une fois une bibliothèque chaque année). Elles peuvent donc se faire passeurs vers d’autres offres culturelles. Les initiatives en ce sens se multiplient : partenariats avec les conservatoires, les musées, mais aussi avec les librairies, les lieux de pratiques amateurs. Elles se font têtes de réseau culturel sur un bassin territorial. Peu à peu se cassent enfin les murs entre le patrimoine et la création et ce qu’on appelle, non sans un peu de mépris parfois, « les pratiques culturelles ».

L’homme continue de voir et d’entendre à plusieurs reprises trompant la publicité et le marketing, sa nature est de se réunir correctement. C’est ce que le psychologue dit de la nature humaine. Sur cette base, les grandes maisons de commerce dépensent beaucoup d’argent sur son annonce de publicité trompeuse sur Internet, à la télévision et publiée. C’est la violation des droits de l’homme. Le marketing trompeur de la publicité nous fait croire à la vérité quand ce n’est pas le cas. Les maisons de commerce fournissent de plus en plus de produits et de produits de mauvaise qualité qui s’avèrent nocifs pour la santé humaine. Ce sont les gens dans le monde. NGS des droits de l’homme doit exposer Marketing Deception. Article 12 des Droits de l’Homme – nul ne peut être soumis à une ingérence arbitraire dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ou à des atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles interférences ou attaques par le biais des médias. Mais les grandes maisons de commerce dépensent beaucoup d’argent sur son annonce pour tromper le marketing sur Internet, à la télévision et publié. C’est la violation des droits de l’homme. Les grandes maisons de commerce fournissent de plus en plus de produits de mauvaise qualité. C’est un problème global. Mais encore il n’y a aucun contrôle sur le commerce déloyal de commercialisation et de publicité qui affecte l’honneur et la réputation de nombreuses civilisations. Mais les pays développés permettent la production et continuent d’être fournis par ses maisons de commerce dans les pays sous-développés suivis de marketing trompeur sur Internet, à la télévision et publié. Bien qu’ils continuent à revendiquer la protection des droits de l’homme, ils violent en réalité les droits de l’homme. Les gens souffrent dans le monde. Vous avez peut-être vu le marketing de la publicité trompeuse de la médecine et de nombreux aspects de la nourriture qui trompent les gens à croire en la vérité quand ce n’est pas le cas. La publicité trompeuse affecte la santé des gens ordinaires. La conclusion de l’OMS est qu’un régime végétarien est meilleur que la nourriture non végétarienne. Mais la publicité trompeuse de la commercialisation des grandes maisons de commerce dans l’industrie de la viande continue de croire dans l’autre direction, ce qui n’est pas vrai. Cela affecte la santé et l’économie de nombreuses personnes, y compris dans les pays développés. La conclusion de l’OMS est que les systèmes biologiques sont meilleurs que les aliments basés sur divers produits chimiques inorganiques tels que les engrais et les pesticides, mais les cas de publicité trompeuse dans les engrais et les pesticides des grandes entreprises continuent à croire que l’autre n’est pas vrai. Une grande partie de la population mondiale souffre de maladies cardiaques, de diabète, de cancer et d’autres maladies. Mais il n’y avait pas de voix contre cette violation de l’article 12 des Droits de l’Homme, parce que les grandes maisons de commerce dépensent beaucoup d’argent sur ces questions de violation des droits de l’homme. Il existe de nombreux produits chimiques, engrais, pesticides et médicaments dont la nocivité pour la santé humaine a été prouvée et qui est interdite dans les pays développés. Mais les pays développés permettent la production et continuent d’être fournis par des maisons de commerce dans les pays sous-développés suivis de marketing trompeur sur Internet, à la télévision et publié. Bien qu’ils continuent à revendiquer la protection des droits de l’homme, ils violent en réalité les droits de l’homme. Les campagnes de marketing ne devraient pas être conçues par la façon dont les mots peuvent être tordus contre les faits par la publicité de marketing trompeur. Les promesses de commercialisation de la publicité doivent être préservées, les mesures appliquées et les valeurs des produits ne doivent pas être violées. Tout produit qui est préjudiciable à la santé et qui viole l’article 12 des droits de l’homme ne devrait pas être autorisé à faire de la publicité pour un marketing trompeur. Retrouvez plus d’informations sur la formation en SEO à Lille.

Le téléphone rouge entre les deux Corées remis en service. Le mercredi 3 janvier, les deux Corées remettent en service leur téléphone rouge transfrontalier fermé depuis quasiment deux ans. Le canal de communication de Panmunjeom est rouvert dans la matinée. « La conversation téléphonique a duré 20 minutes », selon un responsable du ministère de l’Unification sud-coréen, sans autre précision. La ligne téléphonique de Panmunjeom servait aux deux pays à faire le point deux fois par jour avant d’être coupée en février 2016. La faute à la détérioration des relations bilatérales à cause d’un différend autour du complexe industriel conjoint de Kaesong. Séoul a salué la décision du Nord de la rouvrir comme étant « très significative ». Washington et Séoul reportent les manœuvres militaires prévues pendant les JO. Nouveau signe de détente, venu cette fois aussi de Washington, le jeudi 4 janvier. Les Etats-Unis acceptent une sorte de « trêve olympique ». Washington et Séoul décident en effet de reporter après la compétition leurs manœuvres militaires annuelles, qui coïncidaient initialement avec la période des JO. Or, ces opérations, perçues par la Corée du Nord comme une éventuelle préparation d’invasion, suscitent à chaque fois une aggravation de la tension dans la péninsule. « Les deux dirigeants [américain et sud-coréen] ont convenu que les manœuvres militaires communes américano-sud-coréennes n’auraient pas lieu durant la période olympique et que les forces armées des deux pays feraient de leur mieux pour garantir la sécurité des Jeux », annonce Séoul dans un communiqué. Le report de ces manœuvres contribuera au succès des JO d’hiver « dans l’hypothèse où le Nord ne se livre pas à de nouvelles provocations », précise le président sud-coréen, Moon Jae-in. Cette suspension des manœuvres pendant les Jeux étaient souhaitée par les alliés traditionnels de Pyongyang, Moscou et Pékin. C’est donc un geste en leur faveur, d’autant que la Chine a durci sa position vis-à-vis de la Corée du Nord. Elle a mis en œuvre, samedi 5 janvier, les nouvelles sanctions votées à l’unanimité à la fin décembre par le Conseil de sécurité de l’ONU, et notamment la fin des livraisons des produits raffinés pétroliers à la Corée du Nord. Cet isolement croissant explique sans doute aussi la main tendue de Pyongyang à Séoul.

Pour peu que vous lisiez régulièrement mes billets, vous avez dû remarquer que ma femme et moi adorons voyager à travers le monde. C’en est presque une passion dévorante, nous partons dès que nous en avons l’occasion. Le mois dernier, par exemple, nous avons encore réalisé un voyage de groupe à Rouen qui nous a véritablement grisés. Malheureusement, il n’est pas possible de parler à tout le monde de cette passion. Il y a des gens avec lesquels il vaut mieux éviter d’aborder cette question, car elle ne les intéresse tout simplement pas. Je pense notamment à un couple d’amis pour qui le mot « voyage » est presque un mot ne figurant pas leur vocabulaire. Pour vous donner une idée : ils n’ont jamais quitté la ville où ils vivent. Ils y ont grandi, y ont fait leurs études, et s’y sont rencontrés. Et ils en bougent le moins possible. Ils passent la plupart de leurs vacances directement chez eux, et les rares fois où ils se décident à voir le vaste monde, c’est pour se rendre au camping où l’un des deux allait déjà… durant son enfance ! Et tout cela ne les rend pas malheureux, bien au contraire. Cette façon de faire leur correspond. Evidemment, pour des gens qui adorent voyager, cette vie excessivement sédentaire a quelque chose d’hallucinant. Lorsqu’on pense à la taille de notre bonne vieille planète, il est difficile de comprendre comment on peut décider de n’en rien voir, ou alors, seulement le strict minimum. J’ai vu tellement d’endroits splendides au cours de ma vie : la baie de San Francisco, les sables du Sahara, la savane africaine et tant d’autres, qu’il m’est impossible de comprendre ceux qui préfèrent rester sur place. Attention, ce n’est même pas une question d’argent. Mes amis ont de bons salaires. Ils préfèrent simplement le dilapider dans le dernier Iphone, ou dans tout ce qui améliore le confort de leur quotidien. Je crois que c’est dû en définitive à un choix de vie. En tout cas, si vous n’avez jamais visité Rouen et que vous aimez voyager, vous vous devez de réparer cette erreur ! Voilà l’agence par laquelle nous sommes passés pour ce voyage de groupe. 😉 Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de ce voyage groupe.

La torture constitue un des fléaux qui affecte l’Afghanistan. En 2017, le Comité des Nations unies contre la torture, chargé de veiller à l’application de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants s’est dit gravement préoccupé par le climat général d’impunité et la culture correspondante qui régnaient en Afghanistan concernant les actes de torture. Le Comité constate « une acceptation généralisée et une légitimation de la torture dans la société afghane ». Certaines personnes qui ont commis des crimes de guerre et des atteintes graves aux droits humains, notamment des actes de torture, continuent d’exercer des fonctions exécutives officielles, parfois au sein même du gouvernement. Il est rare que les auteurs d’atteintes aux droits humains aient à rendre des comptes pour leurs actes. L’Afghanistan souffre d’une forte corruption, d’une véritable culture de l’impunité et de problèmes de gouvernance. Autant de facteurs qui affaiblissent l’état de droit et compromettent la capacité du gouvernement afghan à protéger la population des atteintes aux droits fondamentaux. La capacité du gouvernement à faire respecter ces droits est encore réduite par l’insécurité, l’instabilité et les fréquentes attaques d’éléments qui lui sont hostiles. La police et les forces de sécurité afghanes sont confrontées à toute une série de problèmes avérés dans leur mission de protection de la population civile. Qui plus est, un certain nombre d’acteurs étatiques chargés de protéger les droits humains, notamment au sein de la police locale et nationale, se rendraient euxmêmes responsables de violations. L’Afghanistan est par ailleurs le théâtre d’une crise humanitaire aiguë. Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), 9 300 000 personnes auront besoin d’aide humanitaire sur l’ensemble de l’année 2017. Plus de neuf millions d’Afghans ont, au mieux, un accès limité aux services de santé les plus élémentaires. Les taux de mortalité maternelle et infantile, respectivement de 327/100 000 et de 73/1 000 enfants nés vivants, figurent parmi les plus élevés de la planète. La sécurité alimentaire est de plus en plus menacée. Quelque 1 600 000 Afghans sont actuellement dans une situation très précaire dans ce domaine. L’Afghanistan compte environ 2 millions de personnes déplacées. Le retour, souvent involontaire, des personnes parties se réfugier à l’étranger ne fait qu’exacerber une crise humanitaire déjà profonde. Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a indiqué en septembre 2017 que 30 provinces afghanes sur 34 étaient touchées par le problème des personnes déplacées. Pour la seule période comprise entre le 1er janvier et le 16 septembre 2017, 257 900 nouvelles personnes seraient venues grossir leurs rangs. Près de 60 % de ces nouveaux arrivants étaient des enfants.

Deux ans après les attentats qui ont ensanglanté la capitale, de nombreuses victimes souffrent encore d’une mémoire traumatique qui transforme leur vie quotidienne en enfer. Des thérapies existent pour que les rescapés puissent se reconstruire. Sophie Parra est l’une des 413 personnes blessées lors des attentats du 13 novembre 2015 à Saint-Denis et Paris. Il y a deux ans, cette jeune femme de 33 ans se trouvait dans la fosse du Bataclan. Elle a reçu deux balles dans le corps après que le commando djihadiste a ouvert le feu. Un traumatisme dont elle souffre encore aujourd’hui dans son quotidien. «J’ai eu un parcours chaotique. J’en suis à mon huitième psy», annonce-t-elle. «Les deux premiers psychiatres m’ont mise sous calmants et sous antidépresseurs, mais cela n’aide pas pour la reconstruction», poursuit la jeune femme. «Il faut vivre avec ce qu’on a vu. J’ai encore des flashs. Deux ans après, ce sont davantage des détails qui ressortent. C’est une douleur et un cri. Ou l’odeur du sang et la voix des djihadistes quand ils nous ont dit qu’ils faisaient ça pour l’Irak et la Syrie. Leurs visages sont plus flous. Ce sont des ombres», raconte-t-elle, avant de conclure: «Je subis ma mémoire». Ces résurgences des attentats vécues au quotidien par de nombreuses victimes sont le signe d’une mémoire que les scientifiques nomment «traumatique». Le stress post-traumatique est un calvaire pour ceux qui en souffrent, obligés de trouver des conduites d’évitement pour ne pas subir cette mémoire infernale. «Je ne peux pas prendre le métro ou le RER, je ne vais plus au cinéma ou dans des salles de spectacle. Je me place en fonction des sorties de secours. Je suis aux aguets tout le temps. J’envisage en permanence une attaque», énumère la jeune femme.

A l’occasion d’un vol en hélicoptère dans les Hautes-Pyrénées, j’ai découvert un site fascinant : le Mont Perdu. A tel point que je n’ai pu résister à l’idée d’y faire un petite randonnée dès ma descente de l’appareil. Ce paysage de montagne exceptionnel s’étend à cheval entre les frontières française et espagnole. Le Mont Perdu (Monte Perdido en espagnol) se situe côté espagnol et culmine à 3352 m. Côté français, le parc national des Pyrénées abrite les splendides cirques de Gavarnie, d’Estaubé et deTroumouse. Classé patrimoine mondial par l‘Unesco, c’est l’un des rares endroits d’Europe où les modes de vie pastoraux ont été préservés. La diversité de sa faune et de sa flore est tout simplement extraordinaire. On compte 1500 espèces de fleurs et les mammifères abondent, dont le bouquetin d‘Espagne qui escalade agilement de précaires rochers à pic et falaises ou le sanglier sauvage, que l’on chasse encore traditionnellement dans la région. Les aigles survolent les pics et si l’on a de la chance on peut même apercevoir le légendaire gypaète, un rapace de 3 m d’envergure. Y faire de la randonnée doit couper le souffle, non seulement à cause des dénivelés importants mais aussi et surtout à cause de la beauté des vallées, des cascades de haute montagne et des lacs d’un bleu profond. Cette chaîne coiffée de neige est parcourue par les randonneurs tout au long de l’année, qu’ils choisissent de camper, de dormir dans des refuges de montagne ou dans de rustiques chambres d’hôtes. Une fois sur place, on a du mal à imaginer que la vie continue dans les villes. L’endroit semble tellement en décalage avec l’agitation de la métropole. La région est demeurée peu développée et abrite quelques villages reculés où la vie n’a pas vraiment changé depuis des décennies. À cause de sa géographie même, il est probable que cela demeure ainsi. Ce qui est en soi plutôt rassurant : il y aura ainsi toujours des refuges pour ceux qui, comme moi, veulent fuir la ville, l’espace de quelques heures ou de quelques jours. Des lieux perdus où l’on peut enfin se retrouver. Si vous en avez un jour l’occasion, je vous invite à découvrir ce site à l’écart du monde. Et à tester le vol en hélicoptère, également : redécouvrir le monde depuis le ciel, retransformer les reliefs en cartes, est une expérience assez fascinante à vivre. En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de vol en hélicoptère.

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